De nombreuses appellations pour les home studio et des niveaux très disparates.
Comment faire la différence entre le homestudio de Lenny Kravitz et le studio XXX de mon village ?
Je vous propose ici mon interprétation, mon éclairage sur des termes qui ne sont pas « normalisés » et de comprendre les chemins de vie qui nous font passer d’un monde à l’autre.
Je vous laisse découvrir cet univers de passionnés et vous faire votre propre avis. Lire la suite…
L’ingénieur du son n’est pas un ingénieur mais il va développer des compétences dans de nombreux domaines techniques qui encadrent le son. Ses mission peuvent varier entre la production, la post-production, la diffusion….
Ce métier va permettre à celui ou celle qui l’exercera de développer un de ses cinq sens : l’ouïe.
Ce sens va se développer au fur et à mesure de l’expérience et du niveau du matériel sur lequel l’ingénieur du son va exercer son métier.
Ingénieur du son est l’un des métiers du son dont le titre peut prêter à confusion.
Si sa fonction principale est de restituer le son le plus fidèlement possible (ou le moins suivant l’objectif créatif), il n’en est pour autant pas vraiment un « ingénieur » . Lire la suite…
Le XXeme siècle aura été riche en productions artistiques : le cinéma, l’industrie du disque…. Si l’industrie du livre a été prolifique depuis l’invention de monsieur Gutenberg, l’industrie du divertissement visuel et sonore en a tiré les leçons et a su nous proposer depuis de grandes quantités de production.
Si l’industrie du livre a évolué et a pu imprimer d’excellents livres pour le plus grand nombre, les modes de lecture évoluent. Aujourd’hui, les kindles, les tablettes tactiles remplacent les feuilles de papier.
L’industrie du disque et celle du cinéma ont vu également leurs processus de production évoluer très vite avec de nouveaux outils. Les bandes magnétiques ont disparu, les « tourne-disques » également et aujourd’hui, la plus grosse partie des consommateurs écoute du mp3…
Il reste néanmoins un catalogue d’excellentes compositions, interprétations qui méritent le passage sur les nouveaux formats numériques. Il faut donc remasteriser pour transférer sur le nouveau support.
Dans l’absolu, un simple lecteur du format d’origine suivi d’un excellent convertisseur Analogique vers Digital (AD) et d’un enregistreur numérique devraient suffire mais… Lire la suite…
Je me suis longtemps posé la question :
La peur de perdre l’expérience unique que j’avais eue en divulguant des techniques, des secrets m’a longtemps freiné.
Parce que pour mettre au point ces méthodes, ces techniques, il m’a fallu des années, des dizaines de milliers d’heure à pratiquer le mastering et uniquement le mastering.
Parce qu’il m’a fallu souffrir en cherchant des solutions sur des masterings difficiles. Parce qu’il m’a fallu mettre en doute mes compétences.
Tous ces moments durs, toutes ces difficultés… je voudrais éviter ces galères à tous ceux qui vont suivre ma voie et réaliser des masterings pour leur compte ou pour les autres.
Parce que lorsque vous dépassez ces obstacles, Lire la suite…
L’objectif de cet article est de vous permettre de choisir un logiciel de mastering dans le cadre du studio, homestudio ou du home mastering (en slip ou en culotte dans son salon).
Pyramix a quand même sorti une version « native » afin de devenir accessible au plus grand nombre mais ces logiciels de mastering ne sont pas vraiment financièrement à la portée du homestudiste et encore moins du particulier.
Sur Mac,
Bias Peak* est depuis longtemps une référence mais son coût le destinera plutôt aux studios habitués à investir dans le monde logiciel.
Dsp quattro est largement plus accessible. Il a été relancé récemment après quelques années de No man’s land.
Je citerai également Wavelab de Steinberg qui débarque depuis peu sur la plateforme OSX. Lire la suite…
Le mastering, dans ses débuts, n’avait que pour seule fonction de transférer une bande sur un vinyl.
Puis est arrivée la stéréo et les problèmes de phase, de limites physiques du support vinyl, les problèmes de passage en mono.
Nous sommes aujourd’hui très loin de ces problèmes de base et certains ingénieurs du son ne les connaissent même plus (je suis souvent interrogé sur les traitements à réaliser pour le passage en vinyl).
Depuis l’arrivée du CD et de la « LOUDNESS WAR », les traitements réalisés lors de la phase de mastering sont plus nombreux, plus tirés…
Là où nous n’avions qu’à rajouter un petit 1/2 dB , nous arrivons aujourd’hui à des traitements de plus en plus importants et il n’est pas rare que je sois obligé d’appliquer des gains de 12 dB sur un mix…. Lire la suite…